Comment dire cette enfance singulière, ces parents qui parlaient avec un accent, ces familles déracinées, ces traces de la Shoah sur cette génération qui n’a pas connu les camps, qui a grandi avec dans le traumatisme de cette tragédie ? Danièle Laufer a recueilli les témoignages de femmes et d’hommes, comme elle, nés de survivants de camps nazis. Venir après se lit comme un roman.
