Pour l’historien, tourner la page de notre histoire coloniale, c’est ouvrir le champ à un vide mémoriel qui ne peut que nourrir les rancœurs et attiser les replis identitaires.

Pour l’historien, tourner la page de notre histoire coloniale, c’est ouvrir le champ à un vide mémoriel qui ne peut que nourrir les rancœurs et attiser les replis identitaires.