Kaldûn, c’est le nom donné à la Nouvelle-Calédonie par les Algériens déportés en 1871. 1871, c’est le début et la fin de la Commune de Paris avec son lot de massacres et de déportations aux antipodes. Dans cette pièce de théâtre, Abdelwaheb Sefsaf et l’ensemble Canticum Novum content ces histoires croisées de femmes et d’hommes qui ont lutté pour leur liberté. Aux voix puissantes se mêle une musique nourrie de multiples influences, de la Méditerranée au Pacifique, pour nous convier à un spectacle nécessaire, sensible et percutant.
Kaldûn d’Abdelwaheb Sefsaf
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