Florian

Ce chef d’œuvre nous transporte dans une époque marquée par la résistance et la quête de liberté, à travers le marronnage et le personnage d’un esclave qui refuse l’ordre colonial.

Amel, Louis et Omer. Trois personnages. Trois parcours. Et un événement, celui qui a marqué la journée du 17 octobre 1961.

Quatre historiens – Nicolas Bancel, Pascal Blanchard, Sandrine Lemaire et Dominic Thomas – proposent la possibilité de reprendre le parcours complet de la colonisation.

Brazza Ouidah Saint-Denis d’Alice Carré est une double enquête sur les traces des tirailleurs africains engagés aux côtés de la France en 1939-45.

Caroline Déodat livre une généalogie raciale et coloniale du séga, une pratique poétique, musicale et dansée née à Maurice pendant l’esclavage au sein de communautés de fugitif·ves.

« Décolonisations, du sang et des larmes » nous rappelle que désormais le dernier grand tabou de l’Histoire de France doit se raconter à plusieurs voix.

Libres et noirs de peau, tels sont les libres de couleur. Affranchis ou descendants d’affranchis, noirs ou métis, ils n’ont pas la même place que leurs coreligionnaires blancs.

Maryse Condé a publié de nombreux romans ancrés dans la mémoire de l’esclavage et de la colonisation.

Marseille était une ville coloniale, mieux encore, une capitale coloniale, bien avant Paris et les grands ports du nord. Ce livre est pour ne pas oublier que la France et l’Indochine, comme les Provençaux et les Indochinois dont il est question ici, entretenaient et entretiennent encore des relations riches et complexes.

Entre histoire et légende, « La Dernière Reine » raconte un combat, des bouleversements personnels et politiques endurés pour le bien d’Alger.